[Liminaire] Morel Jean de,
 Sur les translations, et autres œuvres poëtiques de J. Du Bellay, Ang. Sonnet de J. De Morel Ambr.,
« Comme l'on voit l'abeille industrieuse », p. 2
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Du Bellay Joachim,
 Au seigneur J. de Morel Ambrunoys,
« Je n'avoy jamais experimenté la doulceur des bonnes lettres (cher amy MOREL) sinon depuis que la fortune m'a voulu preparer tant de calmaitez... », p. 3-12
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] La Haye Marie de,
 Ode de damoiz. M.D.L. Haye. Sur les œuvres poëtiques de J.du Bellay et P. de Ronsard,
« Ta docte plume distilant », p. 13-14
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Sébillet Thomas,
[Sans titre],
« Le Mince enflé du vent de la doucine », p. 14-15
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Sébillet Thomas,
 Ejusdem ad Jo. Bellaïum,
« Dum tu Mantῶi cantus imitaris Oloris », p. 15
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] La Haye Robert de,
 Rob. Hayus de J. Bellaio, et P. Ronsardo,
« Fratres Pindaridas studet canoræ », p. 15
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Liminaire] Du Bellay Joachim,
 Epigramme du translateur,
« On void plus d'ung moqueur Enée », p. 16
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Le quatriesme livre de l'Eneide de Vergile,
« Ainsi Enée, ung chacun l'escoutant,Mais ce pandant, la Roine ja blessée », p. 17-66
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Complainte de Didon à Enée, prinse d'Ovide,
« Comme l'oizeau blanchissant », p. 67-89
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] Ausone,
 Ausonii epigramma in Didus imaginem. Ex Græco,
« Illa ego sum Dido vultu, quam conspicis, hospes », p. 90
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Appendice] Du Bellay Joachim,
 Sur la statue de Didon, prins d'Ausone,
« Passant, je suis de Didon la semblable », p. 91
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Post-Liminaire] Baïf Jean-Antoine de,
 J. An. de Baif,
« Muse Françoise, ores dresse la teste », p. 92 [post-liminaire à la complainte de Didon à Enée]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 La complainte du desesperé,
« Qui prestera la parolle / A la douleur, qui m'afolle ? », p. 95-114 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Hymne chrestien,
« O Seigneur Dieu, mon rampart, ma fience », p. 115-122 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 La monomachie de David et Goliath,
« Celuy en vain se vante d'estre fort », p. 123-131 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Ode au reverenidissime Cardinal du Bellay,
« Cetuy là, qui s'estudie / Representer en ses vers », p. 132-137 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 La lyre Chrestienne,
« Moy cestuy là, qui tant de fois », p. 138-144 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Discours sur la louange de la vertu, et sur les divers erreurs des hommes. A Salm. Macrin,
« Bien que ma muse petite / Ce doulx-utile n'immite », p. 145-153 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Les deux Marguerites,
« Sus, ma Lyre, desormais / Chante plus doulx, que jamais », p. 154-159 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Ode au seigneur des Essars sur le discours de son Amadis,
« Celuy, qui vid le premier / Avec sa torche etherée », p. 160-171 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Au seign. Rob. de la Haye, pour estrene,
« Ores, que l'an dispos, / Qui tourne sans repos », p. 172-174 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Estrene à D.M. De la Haye,
« Je sy present de fleurettes descloses », p. 175 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 Ode pastorale à ung sien amy,
« Bergers couchez à l'envers », p. 176-179 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 A Salm. Macrin,
« Par ung tumbeau Arthemize honnora », p. 180
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 XIII Sonnetz de l'honneste Amour,
« [Incipit non renseigné] », p. 181-188 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]
    
                                                                                                                    
                                                                                                  
                                                                                                                                  
                            		                                                                                                                                                                
                                                                
                                
[Œuvre principale] Du Bellay Joachim,
 L'adieu aux Muses, pris du latin de Buccanan,
« Adieu ma lyre, adieu les sons », p. 189-195 [section "Oeuvres de l'invention de l'Autheur"]